Une demande en cabinet pour un enfant de 2 ans qui ne dort pas la nuit. En faisant un check up je constate qu’à priori le problème ne vient pas de l’enfant en lui même. Je lui demande d’imaginer qu’il est l’heure d’aller se coucher, puis d’aller se coucher. Et là apparaissent des angoisses.
Je demande à la maman de dessiner sa chambre et les autres pièces de la maison.
Je sens une charge énergétique anormale à un endroit précis de la chambre, elle me dit que ça correspond à l’emplacement de la fenêtre qui ne donne sur rien de particulier, juste le jardin. J’insiste : il y a quelque chose sous cette fenêtre ?
« Ah en fait, il y avait son parc mais on l’a enlevé hier ».
Je vérifie le reste de la maison et trouve une autre charge très importante dans une autre pièce plus loin. La maman est interloquée, «c’est là qu’on vient de déplacer le parc, pile à cet endroit ! »
Je lui propose de dessiner ce parc et je m’aperçois qu’il est énormément chargé de tristesse. Je fais le nettoyage du parc, fin de séance. C’était un parc que les parents avaient acheté d’occasion. L’enfant précédent avait dû vivre beaucoup de tristesse et en avait imprégné l’objet.
La maman quitte le cabinet en lâchant dépitée « tout ca pour ca !! », toutes ces nuits interrompues pour un simple parc récupéré d’occasion.

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Une femme vient en soin après la séparation de son couple qu’elle n’a pas souhaitée. Je procède à un important nettoyage au niveau émotionnel et harmonisation de sa relation vis à vis de son ex pour qu’elle soit en paix.
La fois suivante il y a une nette amélioration mais elle est toujours un peu déprimée et la personne me demande de venir procéder à un nettoyage énergétique de sa maison.
J’utilise les gros moyens avec le tambour et commence par nettoyer une place précise de son grand canapé, chargée de tristesse. « c’est là où je m’assois ». Puis le tambour m’emmène vers le buffet face à une photo de famille « ce sont mes parents qui viennent de décéder ». Puis je me dirige à l’opposé vers la baie vitrée où se trouve un vase contenant des pampas, lui aussi chargé de tristesse. « on ne va pas le jeter, c’est un cadeau de mariage ! » La place du canapé se trouvait pile au centre de l’alignement de la photo et du vase. Comment rester dans un univers de tristesse non résolu. Le nettoyage permet des prises de conscience et d’accélérer le processus de détachement.
Dans le bureau trèès encombré je sens une zone ambiguë à alléger. Une vieille machine à coudre se révèle être une relique qui pulse d’une magnifique énergie « elle appartenait à ma mère qui était très pieuse ». Dessous se trouve une boîte à chaussures énergétiquement lourdement chargée « à l’intérieur c’est toutes mes photos de mariage ! »
Devant le frigo de la buanderie je sens de l’amour. Parmi les magnets se trouve une photo des enfants de la famille qui sont la source d’amour de cette maison. Mais à côté du frigo, face au mur nu, je sens une autre source d’amour importante. La cliente m’explique « la buanderie est une rénovation, derrière le placo, dans le mur, se trouve une niche dans laquelle on a laissé une statue de la vierge qu’on avait trouvée là »
Je poursuis le nettoyage, et dans la partie la plus ancienne de la maison, dans la salle de bain, je perçois la mémoire d’un bébé décédé à la naissance. La cliente n’est pas au courant, elle sait juste qu’auparavant vivait ici une femme assez triste, que depuis toutes les cloisons ont été abattues et les pièces redessinées. Mais il se révèle que dans le couloir à côté de cette salle de bain, sont affichées toutes les photos de bébé de ses propres enfants alors qu’ils sont ado maintenant. La mémoire du lieu a influencé sa décoration.
Je termine le soin par une chambre à l’étage « c’est une nouvelle extension, tout est neuf. J’adore y aller pour regarder le paysage par la fenêtre. Je m’assois sur le lit et j’y resterais des heures ». En effet, il n’y a presque rien à faire. Mais finalement je m’attarde à nettoyer le lit, un 2 places, et surtout le côté droit avec une sorte de ramification vers la place de gauche où la cliente s’assoit regarder le paysage. « Ah oui, tout est nouveau dans cette pièce, mais le matelas vient de notre chambre conjugale, et le côté droit était celui où dormait mon ex ». En fait, sous le prétexte de venir regarder le paysage, elle se reconnectait inconsciemment à son couple et cultivait ce lien, ce qui ne facilitait pas le détachement.